Sur des encres d’Olivier Lejeune pour le recueil « Ma langue amoureuse » et celles de Josse Annino pour « Seul devant ma vie », le dispositif numérique son, lumière et vidéo permet de découvrir autrement l’univers des haïkus rédigés par le poète et professeur de français Vincent Massart.
Une proposition entre ombre et lumière.
Seul devant ma vie
Je me retrouve à entrer
Dans un tombeau vide
Extrait de « Seul devant ma vie », Vincent Massart – encres : Josse Annino